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Le Canada remettra la fille du fondateur de Huawei à l'Amérique, alors qu'est-ce qui l'attend ?

L'histoire de la détention au Canada de la fille du fondateur de Huawei, Ming Wanzhou

Le ministère canadien de la Justice a déclaré que la directrice financière de la société chinoise Huawei, Ming Wanguo, qui est arrêtée au Canada à la demande des États-Unis, pourrait être extradée vers ce pays, car les crimes qui lui sont imputés sont inscrits dans la lois des deux pays, selon des documents publiés vendredi.

La fille du fondateur de Huawei

L'audience devant statuer sur l'expulsion de la fille du fondateur de Huawei, arrêtée fin 2018, doit débuter le 20 janvier devant un tribunal de Vancouver. L'audience est consacrée à discuter de la question de la "double incrimination", puisque pour que Ming Wanzhou soit extradée vers les États-Unis, elle doit être poursuivie pour des accusations également prévues par la loi canadienne.

Les États-Unis accusent le directeur financier de Huawei d'avoir violé l'embargo iranien en mentant à HSBC sur la relation de Huawei avec Skycom, une filiale de Huawei qui vend des équipements de télécommunications à Téhéran.

Les avocats de Meng estiment que leur client ne devrait pas être expulsé vers les États-Unis, car l'accusation de violation des sanctions contre Téhéran n'est pas un crime au Canada, où ces sanctions n'existent pas.

Dans son rapport remis vendredi au tribunal de district de Vancouver, et publié par plusieurs médias, le procureur général du Canada a soutenu qu'au contraire, le mensonge attribué à Meng était "essentiellement" une fraude, un crime en vertu du Code pénal canadien.

Détention en résidence surveillée

Le directeur financier de Huawei, qui est assigné à résidence dans l'une des deux maisons qu'elle possède à Vancouver, nie les accusations américaines portées contre elle. Ses avocats considèrent que les autorités canadiennes ont violé ses droits lors de son arrestation.

L'arrestation de Wanzhou, le 2018er décembre XNUMX, à l'aéroport de Vancouver, a déclenché une crise diplomatique sans précédent entre Ottawa et Pékin, qui ont demandé sa libération immédiate.

Dans les jours qui ont suivi l'arrestation de Meng, la Chine a à son tour arrêté un ancien diplomate canadien, Michael Moffrige, et son collègue chancelier, Michael Spavor, accusés d'espionnage.

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