mon refuge
Ô mon ancien refuge :
Un salut fait dans la sueur de l'automne
Mon âme était au bord de toute la rouille, et je ne pouvais pas nouer mon pagne et agiter une main de plumes. Ce fait ne peut être nié, je ne veux rien de spécifique de toi et tu veux seulement que je t'aveugle sur mes défauts, tu ne veux pas être un escargot qui aime marcher..
Puis il s'effondre sous le coup d'un garçon maladroit. Ne me sous-estime pas la poésie, peut-être que ma mort sera inévitable à tout moment, c'est ce qu'on dit, mon fumeur, ce n'est pas à moi de la défendre. Et tu es d'autant plus redoutable et terrifiant avec ta barbe, à laquelle j'ai caché mes yeux pour ne pas me noyer dans la boue de ton indifférence narcissique.
Et me voici, qui tient ma gorge, qui inspire toutes les roses qui fleurissent sans une goutte d'eau scintillante, oh rayon de calme qui frappe ma tête, je m'arrête et vois le monde plus misérable et plus beau qu'avant, je vois ta misère comme si c'était par hasard d'être couronné par ta femme.